«Driver: San Francisco», Grâce à Ubisoft
Publié le 09-09-2011 - Consulté 4268 fois - Rubrique Jeux Vidéo - Visitez ce site
La série des jeux vidéo avait été quelque peu oubliée ces dernières années mais c’était sans compter sa reprise en mains par l’éditeur français Ubisoft. Le mythique flic américain de la série est de retour pour des courses poursuites typique des années 70.
Driver fut une des grandes séries populaires de jeux vidéo dont le dernier opus datait de 2004. L’éditeur français Ubisoft a désiré la faire ressusciter en lui donnant tous les moyens possibles pour en faire une réussite. Les développeurs ont reçu comme mission de se consacrer dorénavant uniquement aux courses poursuites et de bannir toute promenade à pieds. « Driver : San Francisco » fait son grand retour. Le synopsis du jeu se déroule six mois plus tard que le précédent opus à San Francisco, rues qui ont été fidèlement reproduites. John Tanner, le flic héro, fait son retour afin de chasser son ennemi, Charles Jericho, un malfrat qui s’est évadé lors de son transfert au tribunal. Au cours de la poursuite, notre flic est victime d’un grave accident le plongeant dans un coma profond. C’est alors que son esprit réinvente une réalité mélangeant quelques bizarreries au passage afin de poursuivre lors de courses poursuite jusqu’au plus profond de son cerveau le malfrat Jericho. Tu vas donc prendre position derrière le volant de sa Dodge Challenger 1970 ou de l’une des 125 véhicules disponible dans le jeu afin de mettre hors d’état de nuire le méchant. Et c’est que ta jouissance sera extrême avec ta manette (ou ton volant) entre tes mains puisque tu pourras t’initier à conduire des voitures de toutes les époques, malgré que le jeu est plongé dans l’ambiance des années 70. Tombée aux oubliettes depuis plusieurs années, la série Driver a été ressuscitée par Ubisoft. Depuis Driv3r en 2004 et en omettant le très fade Parallel Lines, John Tanner a longtemps rongé son frein, espérant renaître de ses cendres. C'est chose faite à travers cet épisode qui s'avère être une ode aux courses poursuites typiques des films des années 70. Selon les dires, tu peux t’attendre à des courses-poursuites digne des plus grands classiques du genre de «Bullitt» ou «The French Connection». Mais revenons sur un détail qui doit probablement te préoccuper depuis le premier paragraphe : comment changer de véhicule si les « promenades ont été bannies ». Les scénaristes ont tout simplement opté sur un pouvoir accrédité à notre héro : le shift ou le moyen de purement et simplement, quand il le désire, de switcher son esprit dans le corps de n'importe quel autre automobiliste. Ouaips, un peu léger tu vas me dire… Et bien non, puisque cette nouvelle option apporte un intérêt supplémentaire au déroulement du jeu. Image-toi en pleine séance d’accident qui risque de te faire perdre le fil de la poursuite. C’est à ce moment-là que tu peux compter sur le « Shift » et de transposer dans une voiture mieux placée et dans le sillon ou la trajectoire du chauffard. Au fil du jeu, le shift sera la source de la réussite de tes missions, de la relation avec son coéquipier Jones, tes déplacements dans la carte mais aussi te plonger dans des situations cocasses comme emprunter le corps d’une conductrice en pleine discussion avec son conjoint pour lui avouer un adultère. Ooops ! Il ne fera pas bon de trainer par ici… Allez, mon gars, cours vite chez ton marchand préféré parce que « Driver : San Francisco » est déjà disponible et en bac pour ta PS3, XBOX-360, Wii ou PC.
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